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    Regard de Claude sur la toile "Le mangeur de couleur"

     Je lui trouve à ce mangeur de couleurs un petit air  « Chagallien », entre réalité et onirisme, entre poésie, lumière et couleurs.... Bref, un personnage étrange auquel le regard reste comme « accroché, aimanté», intrigué par sa puissance et son étrangeté.

    Il y a un nom d'oiseau que j'ai toujours trouvé musical, cet oiseau nocturne qui se nourrit de papillons, l'engoulevent, qui " engoule le vent" c'est à dire qui avale le vent.... Dommage que le terme d'angoulecouleurs n'existe pas!

    Avale couleurs ou cracheur de feu, voilà qui n'aurait pas défloré l'univers de Chagall.

     

     

     

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  • On dirait qu'il est aspiré dans le tourbillon d'un astronef et qu'il va décoller vers d'autres planètes, dérobé par des habitants inconnus de nous, mais qui nous envient ce mont au point de nous en déposséder!

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  • Avec ses caprices, la forêt, 

     comme un paradis aimant,

    baignée de lumière nous livre tous ses secrets.

     

    Les peupliers s'élèvent à des hauteurs telles,

     que les sapins se consument en luttes vaines.

    Plus haut encor, voulant atteindre l'éther pastel.


    Ondes infinies dans l'espace de couleurs, 

    émotions mouvantes, 

    en flots voluptueux s'enivrent d'odeurs.


    Au tournant dd'un chemin, égayé, par les branches,

    un ruisseau réussit à faire chanter la forêt,

    Fontaine d'amour, pour un coeur qui s'épanche.


    Ces quelques lignes te rendent hommage,

    toile, que je délaisse suite à mon éloignement.

    Je te reviendrai avec pinceaux et couleurs, pour te faire renaître en image.

     

    Gilda Campanella, Dax le, 13-4-2012

     

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  • Michéle ? Sa plus noble conquête.
    Tous deux, jonglent avec leurs rires et leurs pleurs,

    leurs ames, mélées frissonnent encore et se délectent.

     

    En ce jour choisi, dans l'étendue de leur vie,

    ils aperçoivent la source féconde qui donna naissance à Alexandre.

    Rien n'est triste, ni jouyeux et le sourire de l'enfant les ravit.

     

    Michèle et P.Gilles ont besoin ce soir d'aller vers l'espérance,

    qui les apaise et leur promet d'autres douceurs

    En cette occasion tous réunis, nous vous souhaitons une vie tendre, comme ce discours qui vous encense

     

    Gilda Campanella le 26-11-2011 

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    Mon fils habite

    là ou la mousson sans trève

    irradie la terre

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  • Le fils est parti ! le rideau de la boutique est tiré.

    Il y a maintenant une vingtaine d'année , la famille Hanefi, ouvrit un commerce  de vêtement pour enfants au 1, boulevard d'Algérie.
    Heureux présage cette adresse ! Malgré les pénibles débuts, aprés queques années, une foule de bambins commença à défiler. En plus du plaisir d'habiller leurs mioches, les Parisiens de ce quartier se sentaient bien dans cette caverne d'Alibaba, un thé par ci, des voix orientales sibilantes par là, qui éclataient comme un feu d'artifice en rires et bonne humeur. Avec l'arrivée de chaque saison, les petits dans leurs nouveaux essayages pivotaient face aux miroir, d'un pied sur l'autre, du haut de leur mètre vingt. Devant ce spectacle, les parents s'enorgueillissaient de la coquetterie naissante de leur progéniture.
    Cette joyeuse ambiance faisait oublier à Amina sa solitude de responsable de boutique, de mère Algérienne déracinée.
    Cependant, vint le jour où son univers pris des couleurs plus rassurantes, son fils ainé, Hassan, sorti de sa transparance juvénile, devint à son tour habilleur de ces chers petits. Hassan se faisait adopter de plus en plus, devenait indispensable.
    Ce temps heureux passa trés vite : un soir, tout bascula, une voix sonore, directive fit éruption dans leur vie, porteuse de propositions fanatiques.
    Alors les absences d'Hassan se succédèrent.
    D'abord silencieuse, Amina perdit son sourire. Son expréssion sous ses traits creusés ne laissait paraitre qu'un regard mouillant, sa voix frissonante ne pouvait plus accueillir les petits insouciants.
    Comme par pudeur, elle baissa le rideau de la boutique. Envahie par l'absence d'Hassan, ses moments de bonheur se firent grignoter puis manger insidieusement.

    Pour l'instant, seul le clin d'oeil de la petite fenêtre de la réserve au dessus de la boutique fermée, transmet u n message d'espoir : il sera le signe qui la mènera sur le chemin de l'acceptation.

    En atelier d'écriture "Clarlotte Noyelle" en 2002 .  Gilda Campanella  

    D'après une peinture de Charlotte Noyelle : La boutique, rue d'Algérie, dont le rideau est descendu.

    mes coups de coeur

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  • Tourne, tourne sous forme de yin et de yang
    L'eau, le feu s'entremellent,
    dans une valse semblable au big, bang.

    Les ondes bouillonnent,
    Elles veulent asservirent les flammes,
    roulent, grondent, tonnent.

    Puissant brasier, prêt à tout détruire.
    Pris dans un mouvement incandescent,
    cette atmosphère contraire, le fait fuir.

    Le flot grossit, fait son effet, s'étire, s'allonge,
    aboutit à la vague vengeresse,
    jalouse de la vive couleur qui la ronge.

    Suffit d'une lame sournoise ,sinueuse pour perturber le brasier,
    fournaise vacillante, affaiblie,
    qui ne laisse place qu'à des brandons étendus sur l'eau rassasiée.

    Comme le tribut d'une course,
    le fleuve aura aussi raison des couleurs feux du soleil,
    qui se noient dans l'écume à sa source.

    Gilda Campanella le 9 Mai 2011 à Dax

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  • Que puis je trouver dans cet inhabituel silence?
    Impuissant dans le verbe depuis ma retraite.
    Je luis obéis  et lui accorde cette dispense.

    Combient est salutaire mon besoin de communiquer,
    pourtant, cette solitude fait mes souhaits et non mes soupirs.
    Mes révoltes éternelles s'apaisent, disparaissent en bouquet.

    Je sombre doucement dans le calme,
    ma fougue languit de plus en plus,
    isolée, dans cette immensité qui me charme.

    L'éther ondule, s'élève,
    seule condition pour rejoindre l'espace limpide.
    J'avance vers mon propre effacement pour une trève.

    Cette ambiance tranquille,
    nuancée par le tic, tac de la pendule,
    rythme mon romantisme qui se profile.

    L'essence même de mes rêves,
    déferle les étoiles de mes désirs,
    offerts au paradis, en ce soir qui s'achève.

    Gilda Campanella , Dax le, 4 Mai 2011

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  • Suprème vague, tu envahis les lieux,
    ou planent la vie, le foyer, la nature.
    Ressac gigantesque, tu cries  l'adieu.

    La houle en guirlande dans sa course folle, donne la mort,
    s'élance, gronde dans l'abîme,
    avale l'espace infini sans remord.

    Sous la voûte des cieux, il ravage,
    s'étale comme un monstre, rompt les muscles du sol,
    privillégeant, ça et là quelques débrits et branches d'arbres sur son passage.

    Ce chemin de feu le conduit,
    vers le vertige du silence.
    Péril invisible de la radiation, matière crée par l'homme qui nous réduit.

    Aujourd'hui, Hanako, Tarô ,en sont les victimes,
    demain, d'autres noms viendront s'ajouter.
    L'arbre bleu ne pourra pas les protéger, lui aussi aura perdu sa cîme.

    Gilda Campanella,
    Dax le 5 Mai 2011

    espère animer la conscience de ceux qui s'en sont éloignés

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  •  

    La nature me donne des teintes variées,
    alors que je n'ai pas accès à la toile et aux pigments.
    Mes yeux recommencent à voir, je me mets à colorier

    Mutation, au sein de l'immuable,
    bleu du ciel, vertes prairies, soleil qui se lève pour commencer sa course,
    cette contemplation extasiée m'entraine à conter une fable.

    De toute part, en aucun sens, à droite, à gauche,
    la nature n'a pas de limite.
    Rêver devant cet ouvrage n'est qu'une ébauche.

    La ceinture de muguet en ce jour de premier mai,
    pure voûte laiteuse, se détache de la campagne,
    éclaire de cette absolue clarté le sentier, tout au sommet.

    Je chevauche, l'âme ruisselante de lumière.
    Qui pourrait se mouvoir avec autant de bonheur ?
    de pareille senteurs et couleurs érigent mes chimères.

    Gilda Campanella le, 1er Mai 2O11 à Dax

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  • Cure sur l'Adour

    Tout, tout a disparu de moi,

    Alors qu'éloignée de mes pinceaux et couleurs,

    je m'étais promis de revenir vers les mots en émois.

     

    Le soleil au milieu des astres errants

    ne suffit plus par ses couleurs,

    alors que les mots pourraient illuminer mon écran

     

    Le rêve, l'amour sont les sujets de mes vers.

    Je devrais apprendre les plaisirs de l'exil,

    pour déployer mes ailes confiantes dans ce nouvel univers.

     

    Seul, le fantasme silencieux comme la nuit,

    gros de pleurs me transporte dans le rythme,

    il change la donnée et me tire de l'ennui.

     

    Ma pensée s'engloutit, il est si doux de sombrer,

    harmonie invisible, plus belle que visible.

    tout mon rêve se déploie pour rejoindre les cieux ambrés

     

    Gilda Campanella, le 30 avril 2011 à Dax

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